tag:blogger.com,1999:blog-8828109472065647428.post5721759624004034166..comments2023-12-27T17:00:33.731+01:00Comments on Pour une littérature (et autres arts) corse(s): La "bouche amère" de Don PetruFrançois-Xavier Renuccihttp://www.blogger.com/profile/08670393449670969743noreply@blogger.comBlogger5125tag:blogger.com,1999:blog-8828109472065647428.post-87387608103987345302010-02-23T09:42:20.660+01:002010-02-23T09:42:20.660+01:00Je place ici, un peu tardivement (mille excuses), ...Je place ici, un peu tardivement (mille excuses), un commentaire envoyé par Paulu Castagnu (merci) : <br /><br />"Le beau texte «Bouche amère» de Don Petru (Mais qui était ce dramaturge que je présume ecclésiastique ? Loin de l’Ile, l’information n’est pas évidente) dont je viens de prendre connaissance me conduit sans avoir probablement la culture littéraire et philosophique suffisante Paulu Castagnunoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8828109472065647428.post-20174545033877885822010-02-13T19:14:34.148+01:002010-02-13T19:14:34.148+01:00PETRU
« J’ai craché toute ma salive. Ma bouche est...PETRU<br />« J’ai craché toute ma salive. Ma bouche est amère. »<br />C’est ainsi qu’il conclue sa propre entrée dans le ragot (qui a des vues, l’occhju, sur qui ?), dont il est la victime (risée), et dont il a percé le secret (la manifestation publique d’un désir, invidia, qui avançait masqué).<br />« J’ai craché toute ma salive. » Il s’est risqué à parler dans le registre des femmes, de leurs Xavier Casanovahttp://isularama.canalblog.com/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8828109472065647428.post-18021011735902450732010-02-13T19:12:19.464+01:002010-02-13T19:12:19.464+01:00Sur Don Petru
L’extrait cité par François Renucci...Sur Don Petru<br /><br />L’extrait cité par François Renucci est remarquable :<br />— Un mort<br />— Deux vieux chœurs (les femmes et les hommes)<br />— Deux jeunes cœurs (Orsola et Petru)<br />— Deux rumeurs (le culombu, la voix off)<br /><br />LES VIEILLES, face au mort<br />1. Elles décrètent la jalousie éteinte. — Il n’y a plus à surveiller jalousement où il conduit son troupeau et comment ilXavier Casanovahttp://isularama.canalblog.com/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8828109472065647428.post-40294228204151427972010-02-05T23:11:27.899+01:002010-02-05T23:11:27.899+01:00Oui, il faudrait regarder l'ensemble du texte,...Oui, il faudrait regarder l'ensemble du texte, sûrement. Il s'agit de la fin dans cet extrait, l'émotion est donc "préparée" par les scènes précédentes.<br /><br />L'emphase - le travail de formulation - est un élément important, qui s'assume comme tel dans cette tragédie. A la manière des tragédies antiques, je trouve (mais je me trompe peut-être) ; je pense à une François-Xavier Renuccihttps://www.blogger.com/profile/08670393449670969743noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8828109472065647428.post-39221783931818931342010-02-05T22:35:34.220+01:002010-02-05T22:35:34.220+01:00Pour moi, ce texte ne "fonctionne" pas. ...Pour moi, ce texte ne "fonctionne" pas. Je n'y entre pas...Je trouve qu'il y a à la fois trop d'emphase et pas assez d'émotion.<br /><br />Mais il faudrait que je lise toute la pièce.francescanoreply@blogger.com