tag:blogger.com,1999:blog-8828109472065647428.post8047610998225555168..comments2023-12-27T17:00:33.731+01:00Comments on Pour une littérature (et autres arts) corse(s): Une lecture singulière de "Murtoriu", par RuclìFrançois-Xavier Renuccihttp://www.blogger.com/profile/08670393449670969743noreply@blogger.comBlogger13125tag:blogger.com,1999:blog-8828109472065647428.post-32122608075796478382012-09-26T16:03:56.010+02:002012-09-26T16:03:56.010+02:00Oui, la forme est conforme à l'incohérence du ...Oui, la forme est conforme à l'incohérence du personnage. A la première lecture, cela m'avait frappé tout de même que deux chapitres seulement (sur 20) soient partagés par deux narrateurs différents. Pourquoi ceux-ci ? J'ai tenté une hypothèse pour le chapitre 15 mais il y a aussi le chapitre 12, affaire à suivre.François-Xavier Renuccihttps://www.blogger.com/profile/08670393449670969743noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8828109472065647428.post-81501150082380561992012-09-26T09:17:57.351+02:002012-09-26T09:17:57.351+02:00"le désordre apparent du roman n'est là q..."le désordre apparent du roman n'est là que pour faire écho au désordre du réel."<br />Pas seulement à mon sens, il m'a semblé épouser parfaitement le cheminement du héros, un poète ayant du mal à accorder ses mondes, partagé entre sa vie présente, la réalité de ses désirs et de ses révoltes, et ses rêveries habitées par les fantômes du passé ou les créations de son EChttp://l-or-des-livres-blog-de-critique-litteraire.over-blog.com/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8828109472065647428.post-13950342606148164472012-09-26T07:31:48.902+02:002012-09-26T07:31:48.902+02:00C'est exactement cela: le désordre apparent du...C'est exactement cela: le désordre apparent du roman n'est là que pour faire écho au désordre du réel. <br />Il cherche à nous perdre parce qu'on est perdu. MPnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8828109472065647428.post-74880343667846000622012-09-25T22:09:13.061+02:002012-09-25T22:09:13.061+02:00Merci de faire l'effort de recommencer un comm...Merci de faire l'effort de recommencer un commentaire après avoir perdu le premier ! Cela m'est déjà arrivé et l'effet est accablant. Désormais pour les longs messages, je prend la lrécaution de les écrire dans un fichier word puis des les copier/coller.François-Xavier Renuccihttps://www.blogger.com/profile/08670393449670969743noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8828109472065647428.post-85551717140784428362012-09-25T22:01:17.255+02:002012-09-25T22:01:17.255+02:00Merci. Merci beaucoup Monsieur Renucci de m'av...Merci. Merci beaucoup Monsieur Renucci de m'avoir publié. Merci à vous et à tous pour les remarques et le débat que j'ai indirectement suscité (l'initiateur en étant bien entendu Monsieur Biancarelli). J'avais commencé un long message pour répondre précisément à chaque point évoqué dans vos message. Hélas cela fut maladroitement effacé. Je vais cependant essayer de recommencer.<brRuclìhttp://appuntamentu-corsu.forums-actifs.netnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8828109472065647428.post-53843308497361200282012-09-25T14:17:55.691+02:002012-09-25T14:17:55.691+02:00C est bien ce que je disais par ailleurs ...(mes s...C est bien ce que je disais par ailleurs ...(mes sentiments sur le sermon)<br />Ça fait du bien quand ça fait mal....<br />MPnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8828109472065647428.post-16038205963646767182012-09-25T10:13:12.630+02:002012-09-25T10:13:12.630+02:00Il est beau, très beau ce témoignage de Rucli sur ...Il est beau, très beau ce témoignage de Rucli sur le roman de Marc Biancarelli...Il est parfaitement exact qu'on n'en sort pas indemne... L'auteur remue une sorte de poignard dans nos plaies que nous aurions pu voir mais que, faute de perspicacité, nous feignons d'ignorer.<br />A la lecture de ce roman, je me suis dit: "Le salaud, il a osé le dire... Il a osé affirmé que nousNorbert Paganellihttp://www.invistita.frnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8828109472065647428.post-36906136635679133642012-09-23T22:17:55.507+02:002012-09-23T22:17:55.507+02:00D autant plus que Ferrari a traduit une partie de ...D autant plus que Ferrari a traduit une partie de Murtoriu...c est bien une question que je pense lui poser,le 29 septembre, lors d une dédicace.<br />Contrairement à la majeure partie des auteurs traduits, MB peut avoir un oeil sur le resultat...comment ont ils géré tout cela?MPnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8828109472065647428.post-8852646380780986842012-09-23T18:10:06.605+02:002012-09-23T18:10:06.605+02:00Bon , c'étaient plus des remarques sur le styl...Bon , c'étaient plus des remarques sur le style du Sermon ( à mettre dans le billet précédent ) que sur celui de Murtoriu ! <br />(Le style de MB, tout aussi intense et signifiant est radicalement différent...) De plus, il est difficile d'apprécier totalement le style d'un auteur via une traduction, même si bien des traits se maintiennent. Mieux vaudrait prendre la V.O, mais Emmanuellehttp://l-or-des-livres-blog-de-critique-litteraire.over-blog.com/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8828109472065647428.post-41576777895622050302012-09-23T17:04:57.160+02:002012-09-23T17:04:57.160+02:00(suite du message précédent)
Il ne suffit pas de...(suite du message précédent)<br /><br />Il ne suffit pas de remarquer la fluidité – et la clarté - de cette longue phrase qui nous emporte dans son rythme effréné scandé par des virgules parfaitement bien placées. Il faut se demander aussi comment l'auteur obtient cette fluidité. <br /><br />Deux procédés sont utilisés :<br /><br />- recours au style indirect libre pour rapporter cette François-Xavier Renuccihttps://www.blogger.com/profile/08670393449670969743noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8828109472065647428.post-70316975611588848772012-09-23T17:04:08.819+02:002012-09-23T17:04:08.819+02:00Un écho à cette discussion sur le style et la form...Un écho à cette discussion sur le style et la forme, par Emmanuelle Caminade (merci à elle) : <br /><br />Il n'y a pas d'écrivain sans style !<br />Un exemple qui permettra à L'Anonyme de goûter au plaisir des happy fews. <br />Ce qui est magnifique dans ce style, ce sont ces longues phrases savamment ponctuées qui nous entraînent dans un flux intense et continu en prenant tour à tourFrançois-Xavier Renuccihttps://www.blogger.com/profile/08670393449670969743noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8828109472065647428.post-47527509900655447622012-09-22T16:55:21.296+02:002012-09-22T16:55:21.296+02:00De ce point de vue, c'est le chapitre 15 qui m...De ce point de vue, c'est le chapitre 15 qui me semble remporter la palme du chaos organisé : <br />- les 7 premières pages s'apparentent à une petite nouvelle presque autonome, qui plus est gratifiée d'une sorte de titre (une phrase, en latin, évoquant le courage des Corses dans les combats), et qui raconte un combat de décembre 1916, horrible, avec une précision, une émotion François-Xavier Renuccihttps://www.blogger.com/profile/08670393449670969743noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8828109472065647428.post-69826435462758028022012-09-22T16:54:56.615+02:002012-09-22T16:54:56.615+02:00Je voudrais réagir à un des propos de Ruclì, je ne...Je voudrais réagir à un des propos de Ruclì, je ne suis pas d'accord avec lui quand il écrit : <br /><br />"De toute façon, dans un roman, le style ce n’est pas le plus important à mon sens, car l’âme du livre, ce n’est pas sa forme, mais bien le fond."<br /><br />Je ne suis pas partisan de placer le style (le beau style, la belle phrase) au-dessus de tout dans un ouvrage, mais je François-Xavier Renuccihttps://www.blogger.com/profile/08670393449670969743noreply@blogger.com