mercredi 27 mars 2013

Explications...

Comme il apparaît que le précédent billet intitulé "Un premier écho des conférences et débats du Salon du livre de Paris 2013" proposait un compte rendu comportant bien trop d'erreurs de transcription des paroles prononcées samedi dernier, je l'ai supprimé.

Je suis bien désolé de cet incident.

Je me suis rendu coupable de bien des maladresses similaires par le passé, et on a même pu m'en faire grief, supposant chez moi des volontés occultes et malveillantes... alors pourquoi continuer ? A vrai dire, je ne sais pas, je sais seulement que je n'arrive pas à arrêter d'essayer de faire de ce blog un espace d'échanges. Mais ou bien cet objectif est ridicule (mais pourquoi ?), ou bien je suis la mauvaise personne pour tenter ce genre de chose (dès lors, dites-moi où l'on peut trouver un espace ayant le même objectif... afin que j'évite de le souiller...).

Bon je dois être définitivement perdu pour la patrie, je vais continuer à essayer de ne pas trop me tromper, mais je jure que si quelqu'un prend la relève, je ferme ce blog définitivement et j'enlève tous les billets encore disponibles sur le net, cela évitera de froisser qui que ce soit.

AJOUT DU 28 MARS 2013 : Veuillez m'excuser mais je ne publierai pas de commentaires revenant sur cette affaire, même si je les lis, et certains avec beaucoup de plaisir. Par contre, je publierai tout récit de lecture et tout commentaire sur ces nouveaux billets, dans la mesure où les propos ne sortent pas des limites de la courtoisie (certains s'étonnent que je ne publie pas leurs avis alors qu'ils contiennent des attaques personnelles). Je demanderai aussi à toutes les personnes concernées d'essayer de ne pas considérer les avis et critiques comme des actes malveillants. Je répète donc ici que je ne fermerai pas ce blog tant qu'il n'y aura pas d'autre lieu dévolu aux discussions autour de la littérature corse (il y a nombre de blogs, sites et même forums passionnants qui proposent des avis sur des livres et des spectacles mais ne sollicitent pas des discussions). Le jour où ce lieu existera, j'applaudirai et je souhaiterai bonne chance à leurs animateurs ; car je crois toujours à la nécessité impérative d'un espace public d'échanges de points de vue et d'expériences de lectures.

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