dimanche 13 novembre 2011

Annonce : discussion télé avec Philippe Martinetti (sur France 3 Corse)

Quelques mots pour confirmer le titre du billet : Philippe Martinetti, journaliste, m'interviewera ce vendredi 18 novembre 2011, dans son émission "Inseme Sera". L'émission sera diffusée sur France 3 Corse Via Stella le soir même (entre 18 h 30 et 18 h52), et rediffusée le lundi suivant à 11 h35.

Pour ceux qui ne peuvent pas voir l'émission à la tv, il est possible de la regarder sur le mur facebook de Philippe Martinetti.

J'évoquerai le blog "Pour une littérature corse", le livre "Eloge de la littérature corse", les enjeux des discussions que nous essayons de mener ici, etc...

Evidemment si vous avez des questions en préambule à cette émission, n'hésitez pas, ou des remarques ; de même, après l'émission.

9 commentaires:

  1. Pour info toutes les émissions sera inseme sont aussi sur la page FB de l’émission :
    http://www.facebook.com/profile.php?id=100002869997208
    Et aussi sur la chaine sera inseme :
    http://ma-tvideo.france3.fr/channel/iLyROoafY9A6.html#a_playlist

    RépondreSupprimer
  2. Merci pour le lien vers france 3. Pouvez-vous me dire si par le même canal, on peut voir les émissions Via Cultura ?

    RépondreSupprimer
  3. Bonjour,
    j’espère M.Renucci que vous ne manquerez pas, lors de votre passage sur Via Stella, d’évoquer "les enjeux des discussions menées ici". D’ailleurs la simple évocation des deux dernières en date devrait suffire à en donner une idée précise aux téléspectateurs.

    La première – mais j’y reviendrai – a retenu toute mon attention, il y est question de tous ces commentaires parasites qui dénaturent les discussions sérieuses menées sur des blogs comme le vôtre. Ces interventions n’ont pour seul résultat (but ?) que de nuire à la création littéraire insulaire. Inutile de préciser que j’adhère totalement à cette analyse, les auteurs de ces messages ridicules, dans le meilleur des cas, ne rendent pas service à la littérature corse.

    La seconde – où le débat porte sur la traduction du titre du dernier roman de Marc Biancarelli – illustre parfaitement la première. Il suffit de lire les commentaires de X. Casanova ou le sabotage de son propre sujet par Madame Caminade qui propose « Morituri » en guise de traduction pour avoir confirmation de ce que disait N.Paganelli. Il semblerait en effet que nous ne pussions avoir de discussions sérieuses sur internet.

    J’ignore si la version française de Murtoriu est déjà sous presse, mais peut être est-il encore temps d’apporter ma modeste contribution. Le terme Murtoriu étant à la fois catégorématique et polysémique je serais tenté d’opter moi aussi pour une double subsomption patatoïdale :

    « Le Glas,
    Oui.» *

    Je reviens donc au premier sujet, celui soulevé par N. Paganelli. Je vous ai déjà fait part de mon assentiment. Il faut dire que ses lignes répondaient pour moi à une attente, ce climat malsain, cette pollution verbale, mettaient en péril l’entreprise ô combien louable d’espaces virtuels – et non moins essentiels – consacrés à notre littérature, et il était vraiment temps que quelqu’un réagît. Aussi ai-je eu immédiatement envie de visiter le blog, "Invistita…" pour en savoir un peu plus sur l’auteur de cet article.

    Et là, je dois bien l’avouer, à la lecture – entre autres – de poèmes corses qui y étaient publiés, je dus me rendre à l’évidence : j’étais tombé dans le panneau… Il ne s’agissait hélas que d’un site factice de plus, sans doute créé par un de ces auteurs virtuels au nom à coucher dehors comme ce Tancrède Paoletti de malheur – pour ne citer que lui.


    Car qui que vous soyez, vous qui vous cachez derrière ces pseudonymes ridicules – les Tancrède Paoletti, Norbert Paganelli, Faustin Moreschi-Defonds, Emmanuelle Caminade, Bronsky le Rat, Xavier Casanova, etc. – ces espaces où est en train de se jouer l’avenir de la création littéraire corse auraient mérité que votre participation en fût digne et que vous écrivissiez sous votre véritable identité.


    (Dante à Renucci)

    *Je laisse à chacun le soin d’imaginer les deux patatoïdes.

    RépondreSupprimer
  4. Monsieur Onfion,
    je vous remercie pour ce commentaire dont la clarté et la beauté d'expression sont au niveau de la pertinence du propos. Merci donc.
    Vous avez tout dit, et bien dit.
    Je ne manquerai pas de vous citer nommément lors de l'émission tv.

    RépondreSupprimer
  5. Monsieur Onfion,

    Votre agression gratuite me conduit à me précipiter au charmant cyber café qui jouxte mon hôtel de Kiev afin de vous répondre sans tarder - et pourtant, Dieu sait que j'aurais autre chose à faire mais, chez les Paoletti, on ne badine pas avec l'honneur.
    Pour commencer, Monsieur, je suis en pleine convalescence et ne suis pas intervenu sur le blog de M. Renucci depuis fort longtemps. Eussé-je dû y intervenir que ce n'eût en aucun cas été au sujet de la traduction de Murtoriu que je me pique de n'avoir pas lu. M. Biancarelli baptise ses insanités comme il l'entend ! Que sa cour de paltoquets s'en émeuve n'est pas fait pour me surprendre mais j'exige qu'on ne me mêle pas à la racaille (depuis ma greffe, soyez-en sûr, je mérite quelque considération).
    Par ailleurs, et c'est ce que je ne vous pardonne pas, vous avez l'inélégance de me comparer implicitement à M. Paganelli ce qui prouve tout à la fois votre malveillance et votre totale indigence en matière d'esthétique ! Lisez donc un seul de mes vers, au hasard, mon poème en vers libre A Julia, par exemple, et vous ne pourrez plus, sans mauvaise foi, vous hasarder à des comparaisons aussi hasardeuses qu'insultantes.
    N'accolez plus nos noms, Monsieur. Car le coupable est toujours celui qui l'accole, Dante Onfion.

    Je ne vous salue pas

    RépondreSupprimer
  6. Monsieur Onfion, vos allégations relèvent, à mon sens, de la pure calomnie ! Sachez que malgré nos grands âges, mon ami Tancrède et moi même, sommes encore capables de vous botter le train d'importance. Je m'en vais d'ailleurs, aussi sec, vous le prouver.
    Nos patronymes, le mien comme ceux de mes estimés confrères et consœurs, sont tout autant réels que le votre ! Je ne comprends pas ce qui vous fait douter de cela. Remets-je en question l'excellent choix que firent vos géniteurs qui, en vous dotant d'un si illustre prénom donnèrent à votre nom de famille (somme toute bien banal...) une extrême profondeur et juste ce qu'il faut de noirceur ?

    Quant à votre proposition rocambolesque pour le titre français de " Murtoriu" laissez-moi rire... La mienne était bien plus parlante. Elle évoquait les rigueurs de l'hiver, la virilité de Marcantonu, (d'ailleurs, je souligne au passage votre misérable tentative de plagiat faisant passer mes "couilles" (si j'ose dire) pour de vulgaires glawis.), et tout un tas d'autres concepts qui, visiblement, vous sont étrangers.

    Je vous invite donc à cesser cette entreprise de sape sur l'heure ! Faute de quoi, je me verrai dans l'obligation de laisser libre expression au guerrier Katangais qui sommeille en moi depuis dimanche dernier. Auquel cas, tu (permettez moi le tutoiement un instant) tâterais de mon gourdin Dante Onfion...

    Faustin Moreschi-Defonds

    RépondreSupprimer
  7. FXR une question pour l'émission? Quel est votre secret pour supporter vos "clients" (dont moi même) qui ne font (presque) jamais ce qu'ils sont censés faire sur ce Blog, c'est-à dire parler de leurs lectures!
    Faites-vous du Yoga, du CHi Qong, prenez-vous de la tisane de romarin, des pilules ou du lexomil?
    Ou allez-vous vous reconvertir à la broderie sur tambour dont opportunément M. Mallasciamè a ouvert un atelier sur Mirvella (où sévit l'affreux Onfion par ailleurs préposé aux holorimes)?

    RépondreSupprimer
  8. Merci pour la question, Francesca. Je réserve ma réponse pour l'émission...

    RépondreSupprimer
  9. Saint Amand Sur Fion, le 17/11/2011

    Dante ONFION

    Rue de la Liberté

    51300, Saint Amand Sur Fion.


    Dante @ Renucci

    Mon cher François-Xavier, je reviens vers vous afin de dissiper tout malentendu et m’excuser auprès de M. Norbert Paganelli. Après vérification, l’existence de ce monsieur semblerait avérée. Le blog Invistita ne serait donc pas un canular, comme je l’avais odieusement insinué. Je ne me trouve aucune circonstance atténuante si ce n’est la présence quelques citations précédant les poésies dialectales de M.Paganelli ou encore le choix de certains blogs en guise d'exemple, qui accréditaient largement cette thèse.

    @ Tancrède Paoletti, Faustin Moreschi-Defonds et consorts.

    Je ne répondrai pas aux provocations de pseudo-personnages dans votre genre car je le maintiens : aucun d’entre vous n’existe, pas plus Tancrède Paoletti ou Faustin Moreschi-Defonds que Jean Kulacsek *.

    @ Francesca,
    Un mot d’encouragement pour cette tentative infructueuse d’holorime :
    "où sévit l’affreux Onfion", vous êtes dans la bonne voie, persévérez.
    J’aurais personnellement opté pour "sévit Dante Onfion" mais n’est pas Dante Onfion qui veut…

    * Autre pseudonyme du Polonais Bronski le Rat.

    RépondreSupprimer