dimanche 14 février 2010

Façons de parler de la littérature corse

Allons-y, l'année 2010 s'annonce très riche pour la littérature corse : citons ici trois façons particulières de la rendre présente et de lui donner de la valeur :

- la soirée poétique organisée par Jean-François Agostini, à Sartène, le samedi 23 janvier 2010, a été un franc succès, en mariant lectures, musiques, vidéos, entretiens, présentations ; je vous recommande de lire le compte rendu/analyse qu'en propose Norbert Paganelli sur son site "Invistita" (rubrique "News").

- la prochaine rencontre littéraire proposée par Xavier Casanova, à Poghju di Venacu, le samedi 20 février 2010, qui réunira un éditeur, un auteur, une critique littéraire pour évoquer quatre livres différents. (Un complément du 19 février 2010 : le lien vers le site d'Annette Luciani qui est la véritable organisatrice de cette rencontre : ici).

- l'éditorial de l'éditeur de février 2010 sur le site des éditions Albiana, au ton affirmé (et même un peu provocant : ce qui ne fait pas de mal), décrétant "unilatéralement" 2010, "année de la littérature corse". Comment ne pas souscrire ?

Nous essaierons, à Aix notamment, de profiter de toutes ces expériences ! Vous avez peut-être des avis singuliers sur ces expériences passées, en cours ou à venir ?

1 commentaire:

  1. Rencontre littéraire de Poghju di Venacu. — Cette rencontre est organisée par Annette Luciani, à la Casa Agostino Giafferri, un lieu exceptionnel s'il en est, entièrement pensé pour accueillir des séminaires. C'est elle qui accueillera les intervenants et les participants, qui présentera cette première édition de LETTRES & REGARDS, et qui lui apportera sa conclusion, avec sa propre intervention. À cet égard, je n'ai rien d'autre à proposer que mon soutien à cette initiative, outre l'honneur et le plaisir d'avoir été invité à y présenter UN SEL D'ARGENT : MIMORIA ARGHJINTINA, de Norbert Paganelli. Il me semble, au demeurant, que tous les ingrédients sont réunis pour une soirée d'exception, autour de l'idée originale d'aborder la littérature, et plus généralement l'art, en croisant les regards de créateurs, d'éditeurs et de critiques. De mon point de vue, c'est un réel bonheur que d'être à nouveau entraîné, après Sartène, dans une dynamique d'utopie agissante. J'espère que nous serons nombreux à la savourer et à la partager, samedi 20 février, à partir de 17h00…

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