Ce blog est destiné à accueillir des points de vue (les vôtres, les miens) concernant les oeuvres corses et particulièrement la littérature corse (écrite en latin, italien, corse, français, etc.). Vous pouvez signifier des admirations aussi bien que des détestations (toujours courtoisement). Ecrivez-moi : f.renucci@free.fr Pour plus de précisions : voir l'article "Take 1" du 24 janvier 2009 !
jeudi 29 juillet 2010
Un deuxième billet technique
Après mon séjour dans l'île et de nombreuses rencontres avec divers visiteurs de ce blog, de retour à Aix, je prends quelques minutes pour évoquer les diverses façons de l'utiliser :
- le blog est ouvert à tous : j'accueille et publie avec joie sous forme de nouveau billet tous les propos ou "récits de lecture" que tout lecteur (occasionnel, obsédé voire professionnel) de livres corses désire exprimer en ce lieu numérique. Vous pouvez parler de tous les livres corse que vous voulez, même ceux que j'ai explicitement critiqué négativement (cela s'est déjà passé). Il ne s'agit pas ici de promouvoir un certain type de littérature corse (au détriment d'un autre) mais de donner à lire ce qui se lit réellement.
- donc, ne prenez pas mal l'absence de tel auteur ou de tel livre que vous adorez. Je répète ici que : je n'ai pas encore évoqué l'ensemble de mes lectures ni même la totalité de mes lectures préférées. Ce blog est encore très pauvre, partiel, oublieux. Charge à chacun (s'il le désire, bien sûr) de combler certaines de ses lacunes.
- afin de savoir de qui et de quoi on parle sur ce blog, n'hésitez pas à consulter la liste des libellés que j'accroche à la fin de chaque billet (il s'agit de la colonne "De qui et de quoi nous parlons ici") MAIS AUSSI à utiliser la FONCTION "RECHERCHE" (juste au-dessous de l'image du Livre du blog). Bien des noms d'auteurs, de livres, de textes ne sont pas présents dans les libellés et sont tout de même évoqués dans les billets et surtout dans les commentaires. Donc, à votre guise, vous pouvez taper dans la Fonction Recherche : "Marcel Proust", "Derek Walcott", "canistrelli" et "vendetta"...
- un de ces jours, je ferai un effort sur l'apparence de ce blog (fond, couleurs, caractères, images) et son ergonomie (articles tronqués, articles d'actualité restant plus longtemps en page d'accueil, etc.). (Merci à JPS pour ses remarques avisées).
- bon, j'ai acquis un nombre important de livres dans l'île et de la matière pour une petite dizaine de billets, je ferai tout cela au compte-goutte, pour ne pas gaspiller une denrée aussi précieuse en ces temps estivaux.
- qualchì volta mi ne vocu nant'à Facebook è mandu l'internauti versu d'altri siti literarii corsi. Eccu l'ultimi ligami :
- a prisentazione di a rivista Décharge da Norbert Paganelli (u 23 di lugliu 2010) (chì pinsate di i puemi scelti da issu diavule di Paganelli ? - iè, m'hè parsu diabolicu daveru u so risu, quandu ci semu scuntrati in Bastia...)
- a publicazione di i "Carnets de marche" di Angèle Paoli (éditions du Petit Pois) : l'aghju cumandatu nant'à Internet.
À prestu ?
(Explication de l'image qui ouvre ce billet :
The finish of the duck hunt at the New Zealand Division water sports, World War I, 7 Jul 1917
Reference Number: 1/4-009517-G
Photographer: Henry Armytage Sanders
Original negative
Photographic Archive, Alexander Turnbull Library
C'est mis en ligne sur Flickr Commons par la National Library of New Zealand.
Comme quoi !!)
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Enfin des images ! Même si c'est des tommies à la con faisant leurs viriles ablutions dans un marigot pourri de Nouvelle Zélande. Et d'ailleurs pourquoi pas ? Hein ? Je vous le demande.
RépondreSupprimerMister Palu
Mister Palu,
RépondreSupprimeroui cette image est magnifique, merci.
En fait, il s'agit de chasse au canard. En préparation aux combats de 14-18 ?
Le lien avec l'objet de ce blog est évident : il s'agit d'une quête, collective, extravagante...
Cela me fait penser qu'une nouvelle traduction en français de "La chasse au Snark" de Lewis Carroll vient de sortir (en Folio, je crois, traduction de Jacques Roubaud, dont "La Boucle" - premier volume de son étrange autobiographie - m'a toujours paru sublime, et se déroule durant la Guerre, mondiale elle aussi, mais la Seconde...
qui elle-même
qui elle-même
qui elle-même...
O Sgio Renucci !
RépondreSupprimerMi ringraziu paà i vosci cumplimenti ma ùn socu nè anghjulu nè satanassu...Infini mi pari....un omu, nienti chè un omu è mi piaci di stamini cusi...Quandu calcosa mi piaci, mi piaci ancu di più di falla cunnoscia à l'altri è basta.
In tuttu casu eiu socu statu cuntenti di scuntravvi è di veda chè vo seti sempri u ghjuvanotu . Toccarà à vo, da qui à calchi tempi, quand'è no saremu vechji vichjoni,à favvi biffà par d'altri ghjovani / Hè cusi a vita. In tuttu casu, purtetivi bè, cio chè vo feti hè ben fattu è lacheti puri di quiddi ch'ùn facini nudda. Calcosa surtarà bè un' di sti ghjorni...E s'edd' ùn sorti....Pezza, no avaremu fattu cio chè no pudiami.
Amicizia di satanassu dittu "coda pinzuta"
Doctor Paganelli
RépondreSupprimervi ringraziu pè l'augurii ! Issu travagliu hè cullettivu è t'avemu bisognu di tutti i satanassi vechji vechjoni o di tutti l'anghjuli ghjovani pè l'eternità.
Qualcosa surterà bè di tuttu issu cumbugliu (passatu ed oghjincu), avete ragiò. Cumu dice RL Stevenson : "Cela ne peut être totalement en vain..." (Ma u dicia in inglese, mi pare).