Emmanuelle Caminade, lisant le recueil d'articles (de réflexion, de résistance, de révolte) de Marcu Biancarelli, VAE VICTIS et autres tirs collatéraux (publié chez Materia Scritta) retient surtout trois textes :
- "Vae Victis"
- "Le jeu du plus fou"
- "Guerre civile"
Pourquoi ?
Comment ça pourquoi ?
Vous n'avez pas lu "Guerre civile" ?
Pour connaître la lecture d'Emmanuelle Caminade : cliquez ici.
Voir aussi celles de Norbert Paganelli (descendez l'écran pour trouver le billet, daté "2011-01-05") et d'Angèle Paoli.
Et aussi celle de JYA.
(AJOUT du 11 mai 2011 : je signale, après un rappel sur Facebook, l'existence d'un billet d'Ivana Polsini-Mattei sur le site de Musa Nostra, toujours à propos de "Vae Victis").
Puisque les écrivains corses sont capables de regarder de cette façon ce que l'on a appelé la "catastrophe" de Furiani, ou encore "l'aventure" coloniale, alors il y a de l'espoir...
Ce blog est destiné à accueillir des points de vue (les vôtres, les miens) concernant les oeuvres corses et particulièrement la littérature corse (écrite en latin, italien, corse, français, etc.). Vous pouvez signifier des admirations aussi bien que des détestations (toujours courtoisement). Ecrivez-moi : f.renucci@free.fr Pour plus de précisions : voir l'article "Take 1" du 24 janvier 2009 !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire