samedi 31 décembre 2011

Et toujours grâce à Corse-Matin... une discussion

Un dernier billet pour le dernier jour de l'année 2011. Ce sera pour relayer une discussion, qui se poursuivra peut-être sur Facebook ou ici, comme vous voudrez.

De quoi sera-t-il question ? Comment ? De Corse et de littérature ? Encore ??!

È perchè no ? ùn serà micca impurtantissimu issu sugettu ?

Situons l'enjeu : un de nos auteurs les plus importants (vous le saviez déjà... mais peut-être n'êtes-vous pas d'accord - entre parenthèses, maintenant, j'hésite à écrire cette phrase tellement elle sert à me brocarder sur la Gazetta di Mirvella... où il s'en passe de belles, en ce moment, vous avez vu ?), un de nos auteurs les plus importants, disais-je, est interviewé par le journaliste Pierre Ciabrini dans le cadre des bilans de l'année écoulée : alors, propos revigorants et pertinents ou idées "conformistes et démagogiques" (selon un des participants à la discussion), ou encore occasion manquée d'évoquer précisément les livres importants de l'année ? Ou bien encore l'article est-il utile s'il ne propose pas de modalités d'actions concrètes pour susciter un "printemps corse" ? Et une "révolte" (contre les blocages politiques, sociaux et mentaux de la société insulaire) est-elle possible en Corse ?

Voici le lien vers l'article : Marcu Biancarelli interviewé par Pierre Ciabrini, plusieurs commentaires ont là aussi entamé une discusion (quand le lien ne fonctionnera plus, envoyez-moi un message et je vous enverrai le texte que j'ai sauvegardé dans un fichier).

Et voici le lien vers la page Facebook de Francesca Graziani, où a démarré la discussion.

Evidemment, je ne vous souhaite pas de belle dernière journée de cette année 2011, ni d'entamer sous les meilleurs auspices l'année 2012 !!

(Bon, il n'y a pas que MB dans la création corse contemporaine : voyez La Corse Votre Hebdo de vendredi dernier qui propose aussi une page sur Pierre Gambini (souvent évoqué ici), une sur Francescu Raffaelli (j'avais vu une partie de son travail de lecture des "Confessions" de Saint-Augustin, à Aix, travail périlleux, qui m'a parfois ennuyé, mais parfois aussi fasciné et surtout donné envie de lire enfin ce texte fou) et une autre sur Magà Ettori et son travail cinématographique et autour du cinéma en Corse (encore rien vu de ses productions, dommage qu'on ne puisse rien voir vraiment, à part quelques bande-annonces ou mini courts-métrages, sur Internet ; j'aimerais pouvoir me faire une idée personnelle de ce travail et en discuter, surtout que pour l'instant, le peu que j'ai vu ne m'a pas convaincu ni emballé, ni les idées de scénarios ni les images effectivement produites, affaire à suivre tout de même, car la démarche est très volontariste et ambitieuse, l'important est donc de ne pas rejeter a priori et ensuite d'accepter toutes les critiques (honnêtes et argumentées), non ?).

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