J'avais évoqué sur ce blog ma lecture de ce roman : voir le billet "La glèbe saignante".
Peut-être y aura-t-il des lectures différentes, négatives, critiques, constructives ? Ce roman joue-t-il ou non un rôle dans nos imaginaires ? Voulez-vous en parler ?
Voici le livre sur le site de l'éditeur, Materia Scritta : "Le bar à tisanes".
Et surtout voici un "récit de lecture" - celui de Julie Casanova - trouvé sur le site de Musa Nostra : je suis d'accord avec l'aspect comique qui a notamment retenu l'attention de cette lectrice.
Et vous ?
Ce blog est destiné à accueillir des points de vue (les vôtres, les miens) concernant les oeuvres corses et particulièrement la littérature corse (écrite en latin, italien, corse, français, etc.). Vous pouvez signifier des admirations aussi bien que des détestations (toujours courtoisement). Ecrivez-moi : f.renucci@free.fr Pour plus de précisions : voir l'article "Take 1" du 24 janvier 2009 !
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
merci d'avoir fait référence à mo papier sur le bar à tisanes
RépondreSupprimersi j'avais su, j'aurais arrangé, complété
en fait je voulais aussi dire qu'il y a certes de la loufoquerie mais aussi de grandes réflexions très intéressantes sur la vie en général, en corse en particulier avec les enjeux politiques (guerre entre nationalistes), sociétaux (rapports hommes/femmes...) et que ce petit livre est super riche
Julie, merci pour votre commentaire.
RépondreSupprimerOui, je suis vraiment d'accord avec vous : ce roman est très riche et je trouve aussi que le mélange de loufoquerie (d'ailleurs, je me demande si l'hôpital psychiatrique n'impose pas une atmosphère générale de folie plus ou moins douce à tous les autres lieux de l'histoire) et de réflexions existentielles est particulièrement réussi, qui rend le livre très attachant.
Peut-être que vous pourriez citer un passage, celui qui vous reste en mémoire ?
Avez-vous lu les nouvelles de Anne-Xavier Albertini, publiées chez A fior di carta ? Voir ici : http://www.afiordicarta.com/rubrique,anne-xavier-albertini,134714.html
A très bientôt.