Histoire de voir si vous voulez discuter du sujet proposé par un visiteur critique (anonyme ; mais cela ne dérange pas les principes de ce blog, je le répète avant qu'on ne fasse des remarques à ce propos). Si vous voulez enrichir vos propos (courtois, courtois) avec des exemples d'oeuvres, de livres, de pages, ce serait encore mieux !
Eccu :
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Voilà bien là résumée la misère de la "littérature" corse. Tout tourne autour de ce médiocre Murtoriu, qui ne sonne le glas que de la noble écriture!!!!!
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Ah, enfin, un propos critique sur un livre (à moins que, j'en ai peur, ce ne soit de nouveau une technique de marketing dernier cri...).
Anonyme 20:25, qu'entendez-vous par "médiocre Murtoriu" ? Comment l'avez-vous lu ? Avec quelles attentes ? Quelles pages vous ont déplu (ou plu) à ce point ?
"Misère de la "littérature" corse" : pouvez-vous développer ? Ce serait passionnant. Même avec beaucoup d'humour.
Merci pour cette intervention. -
D'abord convenez que cela sent le réchauffé! sur quelque blog que l'on aille, murtoriu, murtoriu , et encore murtoriu!! quelle originalité!!! même dans les "critiques" , c'est du copié-collé !!
rien de nouveau sous le soleil. toujours les mêmes rengaines . et toujours le miséreux manque de distanciation auteur - personnage!!
si l'on applique la même lecture à un film , anthony hopkins mériterait donc perpète pour son personnage du "silence des agneaux"
- " l'auteur a mis beaucoup de lui dans son livre"
Foutaises!!!!
ensuite sur le livre:
j'ai bien essayé de le lire en entier mais j'avoue que j'ai jeté l'éponge avant la fin. si les 2 premiers étaient novateurs et apportaient un vent (enfin une légère brise) nouveau , eu égard à la sclérose ambiante ( au royaume des aveugles .....) rabâchant u paese di mammona , a cara muntagna...ecc..ecc, ce murtoriu n'est qu'une resucée , un ragoût trop souvent servi !
la recette ayant marché , on la reprend , manque de talent ou fainéantise , pour nous l'infliger à nouveau.
par misère de la littérature corse j'entends le peu de création.
Malko l'illustre si bien d'ailleurs qui se plaint de la "classe commune", sorte de fourre tout, des ouvrages .
mais peut-être n'êtes vous pas de mon avis??? -
Anonyme 21:25,
je me permets de replacer notre échange dans un nouveau billet, puisque le sujet est légèrement différent (la création et non les prix).
A bientôt.
Je me demande si l'anonyme en question ce ne serait pas Francè en personne, je veux dire en P.V. Histoire de relancer son blog et de battre, pourquoi pas, un record de commentaires, pour le coup nouvelle technique de marketing... bizarre !
RépondreSupprimerle mieux serait peut-être de placer des vrais textes ou des vrais poèmes au lieu de chansonnette pour prépubère :
Quassù nantu à l'altu pratu
Trinca u son di un viulinu
Volta è gira a ronda zitellina
enfin c'est toujours mieux que napoléon qu'est mot à Ste hélène...
Quant à la création de quoi veut-on parler ? en français ou en corse ? Parce qu'il est vrai que souvent ce qui passe à peu près en corse ne résiste pas à l'épreuve de la traduction....
Perceval de Maca(gn)o
"grâce " à la critique virulente d'Anonyme X, je viens de réaliser qu'en fait de Blog littéraire, en dehors de celui de l'auteur lui-même, seuls à ma connaissance "Avali" et "Pour une littérature corse" ont parlé de "Murtoriu" (mais je peux me tromper).
RépondreSupprimerEn "antidote" à la vision au vitriol d'A X (c'est son droit le plus absolu, mais a-t-il vraiment lu le livre...?) je renverrais à la critique fouillée de Marceddu Jurezcek (in "Avali"), que je partage en tous points. Elle est en français, donc "tout le monde comprendra"...http://avali.over-blog.net/article-murtoriu-45868295.html
Quant à Macagnò, peut-être pourrait-il être plus explicite sur les textes en corse qui ne "passent" pas du tout en français : des noms, des noms...! -)
Dans le cas de Biancarelli, "Pegasi 51" mis en scène en français par "Unità Teatrale" et joué par un Christian Ruspini époustouflant semble plus que tenir la route, si l'on en croit la programmation de la pièce sur le continent en de nombreux lieux...
Perceval de Maca(gn)o,
RépondreSupprimermerci pour le commentaire. Quelques réponses :
- ce blog est bien alimenté par plusieurs personnes qui ne sont pas moi : je n'utilise aucun pseudonyme, anonyme et nom réel autre que le mien pour signer mes commentaires (c'est ma façon de faire mais je comprends très bien que l'on fasse différemment). Donc, je ne suis pas l'auteur du message Anonyme 20:25 qui a proposé d'évoquer la "misère de la littérature corse".
- vous avez certainement raison : mon rapport à la littérature (corse en particulier) se nourrit de textes enfantins (voire infantiles ?) ; je mélange les "vrais textes" et les "faux" ; c'est la vie de l'imaginaire (personnel et collectif) qui m'intéresse.
- à ce titre, lorsque vous faites la critique d'un texte cité sur le blog, il peut être utile pour la suite d'une éventuelle discussion avec d'autres internautes de la placer à la suite du bon billet (mais enfin, je peux aussi me charger de replacer la chose moi-même).
- évidemment, vous en dites assez pour donner envie d'en savoir plus : voudriez-vous évoquer (voire citer) les textes corses (en langue x, y ou z) que vous aimez (les "vrais textes") ? Quels textes en langue corse ne passent pas la rampe de la traduction en français ? Pour quelles raisons d'après vous ? Je trouve que c'est un sujet très intéressant.
A vrai dire, je ne vois pas pourquoi un texte médiocre "passerait" mieux en corse qu'en français...
RépondreSupprimerThiers, Comiti, "passent" parfaitement, en français ou en italien, ou en roumain, et s'ils étaient traduits en anglais, ce serait pareil, car en corse leurs textes sont excellents.
Desanti mérite d'être traduit (ho Albiana, spiccemuci un pocu!) : on verra la dimension de cet écrivain; idem pour Jureczek (dont je ne saurai jamais écrire le nom, qu'il me pardonne -)).
Rinatu Coti, Santu Casta "passeraient" la rampe sans problème s'ils voulaient bien se faire traduire...etc
En poésie, idem, Fusina, Thiers, Di Meglio, Geronimi, les Biancarelli (Ghjacumu et Marcu), Cesari, Franchi, Paganelli, Sonia Moretti et tant d'autres : que leur manque-t-il (à part, pour certains, l'envie de se faire traduire)?
Comiti!!! Mdr. Perso je pense qu'il ne passe que les portes qu'il franchit et que sans l'université et le vent qu'elle brasse il n'aurait jaais pu être publie. Langue difficile. Idées mornes et plates. Non Madame voilà un brouet qui ne " passe" pas
RépondreSupprimerAsinu corsu,
RépondreSupprimervoilà une critique virulente sur la prose de GM Comiti.
Peut-être :
1 - que vous voudrez développer, donner un exemple de cette "langue difficile aux idées mornes et plates" ?
2 - qu'un autre lecteur voudra dire son plaisir à lire les nouvelles et romans policiers de cet auteur ?
3 - que vous aurez plaisir à désigner des textes que vous aimez ?
4 - que la discussion pourrait porter sur l'intérêt et les limites de la production littéraire sollicitée par les institutions (dont l'Université de Corse) ?
Merci pour le commentaire.