Une caméra montre ce que souvent on ne regarde pas..
Notre regard se focalise sur le soit-disant "sujet" du film (la croupe d'un cheval cinglée par un homme qu'on sait assis sur deux roues - l'ensemble tournant en rond) alors qu'un ciel, des couleurs, des arbres, un "hic et nunc" ajaccien sont aussi là, aussi et surtout ; cela crève l'écran pourtant.
Donc voici 4 minutes 20 de cinéma corse brut, pur et dur : à mettre en rapport avec toutes ces errances circulaires marquées par l'échec, tous ces déplacements fiévreux, ces amusements et défis morbides (je pense au "Testament du Minotaure" - tiens, un autre mélange Homme/Animal... - de Guerrieri, voir le billet ici ; ou à Circinellu et à ses chiens, voir le billet ici ; ou à Brigida et à son âne, voir ici).
(Ouh, j'ai l'impression que ce billet est un bon exemple de n'importe quoi ! Enfin, régalez-vous quand même avec la vidéo de Monsieur Anthony Laigron, via le blog de Christophe Donner : ici).
Ce blog est destiné à accueillir des points de vue (les vôtres, les miens) concernant les oeuvres corses et particulièrement la littérature corse (écrite en latin, italien, corse, français, etc.). Vous pouvez signifier des admirations aussi bien que des détestations (toujours courtoisement). Ecrivez-moi : f.renucci@free.fr Pour plus de précisions : voir l'article "Take 1" du 24 janvier 2009 !
Vu le billet précédent o FXR tu n'aurais pas plutôt une crise de Foi? -))
RépondreSupprimerAnonyme 00:49,
RépondreSupprimermerci de vous inquiéter ainsi pour moi ! Il est vrai qu'accoler ainsi la Vierge Marie (même si ce n'est qu'une statue) et Quelle Brunette (le cheval de trot attelé) peut paraître étrange.
Allez je renonce à interpréter tout ça...